Tu souhaites connaître en profondeur l’organisation criminelle la plus ancienne du monde ? Alors découvre le monde antique des Yakuza : les mafieux japonais.
La mafia japonaise (Yakuza) est une organisation criminelle qui sévit sur l’archipel japonais. Les membres des clans yakuza sont identifiables grâce à l'Irezumi. C'est une méthode de tatouage traditionnelle. Au Japon, il existe trois grandes familles de yakuza à savoir le Yamaguchi-gumi, le Sumiyoshi-kai et le Inagawa-kai.
Aux côtés de la mafia italienne et de la triade chinoise, la mafia japonaise est l'une des plus dangereuses dans le monde. Contrairement aux deux premières organisations mafieuses qui demeurent secrètes, les yakuzas sont bien connus des services de police. Les Yakuza doivent même se déclarer, ils ont des cartes de visites et des locaux comme une vraie entreprise...
Si tu veux découvrir l’essentiel au sujet de cette criminalité organisée de l’archipel nippon, alors tu es au bon endroit. Dans cet article, tu découvriras :
- L’étymologie du nom « Yakuza »
- L'origine controversée des yakuzas
- L’organisation hiérarchique des yakuzas
- La plus grande famille de yakuza : Yamaguchi-gumi
- Les rites traditionnels et le code d’honneur du yakuza
- Les principales activités de la mafia japonaise
- La relation existentielle entre le bosozoku et le yakuza
- L’influence de la mafia japonaise dans la culture populaire
Prêt pour faire un petit tour dans les ruelles sombres de Tokyo, d'Osaka ou encore de Kobe ? Alors allons-y (レッツゴー)
L’étymologie du nom « Yakuza »
C'est pendant la période du Shogunat Tokugawa que l'on retrace les premières origines de cette mafia nippone. L'appellation provient d'un jeu de cartes japonais nommé Oicho-Kabu. Pendant le jeu, lorsqu'on obtient une série chiffrée de 8-9-3 = 20, on obtient un score de 0.
C'est une combinaison perdante du jeu, ce qui sous-entend que les Yakuzas sont des perdants, des parias de la société. De manière simple :
- « Ya » : provient du mot « Yattsu » qui signifie « huit » (on peut également utiliser « Hachi »)
- « Ku » : signifie « neuf », bien que le mot « Kyu » soit également utilisé
- « Za » : nulle doute qu’il s'agit d'une déformation du mot « San » qui signifie « trois »
Ce terme japonais était aussi utilisé pour nommer le rôle de guetteur (rôle de la chaise). En effet, les policiers devaient entrer dans les sanctuaires shintô afin d'y débusquer des joueurs. À l’entrée, se trouvait un guetteur assis sur une chaise (« rôle » pour Yaku et « de la chaise » pour Za).
L’origine controversée des yakuzas
Origine des yakuza : illustration par Seung Eun Kim
Bien que cette mafia soit originaire du pays du soleil levant, son histoire continue de susciter beaucoup de questions quant à l'origine de ses membres.
La première apparition des yakuzas à l’ère Edo
Des faits historiques datent l’apparition des yakuzas vers le 8ème siècle, en tant que descendants des Kabuki-mono. C’était des samouraïs qui travaillait sous l'égide du shogun pendant l’ère Tokugawa. L’instauration de la « Pax Tokugawa » conduit ces hommes au chômage, ce qui les amena à devenir des criminels.
Ils commirent toutes sortes d'atrocités auprès du peuple japonais et étaient connus pour leurs extravagances et leur maniement de l’épée. Toutefois, aucune source écrite ne fournit une preuve concrète qui affirme une relation entre le yakuza et ces criminels. Les yakuzas affirment d'eux même, qu'ils seraient des descendants directs du groupe des Machi-Yakko (serviteurs de la ville).
Pour se défendre contre les exactions commises par ces ronins déchus (samouraï sans maître), certains auraient formé un groupe de justiciers. C'est d’ailleurs chez ces défenseurs de la veuve et de l’orphelin, que les yakuzas tirent leur coutume (yubitsume et irezumi). Dès lors, on distingue deux castes :
- Bakuto : encore appelés « joueurs professionnels », ceux-ci exerçaient dans la ville en tant que justiciers autoproclamés du peuple. Ils étaient également connus pour dominer sur le marché des « jeux de hasard ». D’ailleurs, ces jeux restent l’activité la plus rentable chez les yakuzas
- Tekiya : on les retrouvaient dans les rues où ces derniers étaient des marchants ambulants qui vendaient beaucoup de choses, mais à bas prix
L’histoire d’un bakuto célèbre : Shimizu No Jirocho
Si nous devons citer un illustre nom qui représente le groupe bakuto, c'est bien celui de Shimizu (1829-1893). C'est une véritable icône de l’histoire japonaise, le robin des bois de l’archipel nippon. Il était le patron d'un bataillon de 500 personnes, d’après quelques chroniques.
Il régnait en maître sur la route de Tokaido, en l’absence d’une institution policière compétente. Il défendait la population contre les méfaits du kabuki-mono. Pendant les années de guerre civile datant du XIXe siècle, Shimizu avait été contraint de faire un choix politique.
Entre le maintien du shogunat et l’instauration de l’empereur, le choix de Shimizu se portait sur l’installation du pouvoir impérial. Un pari excellent, puisque ses crimes furent graciés ce qui forgea sa légende. Selon les médias américain cependant, Shimizu n’était qu'un criminel déguisé qui dirigeait ses terres avec une main oppressante.
Organisation hiérarchique des yakuzas
La mafia japonaise yakuza : illustration par Seung Eun Kim
Les Yakuzas sont uniquement constitués d'hommes. Les femmes ne sont pas très visibles, n’exerçant qu'en soutien de l’ombre (principalement dans les lieux de distraction). Les clans yakuzas recrutent leurs hommes directement dans la communauté burakumin ou alors, chez les coréens.
La structure hiérarchique de la mafia japonaise est assez similaire à celle de la mafia sicilienne. Elle est pyramidale et familiale. On distingue :
- Oyabun : également appelé kumicho, c'est le semblable du « parrain ». À l'image du pouvoir féodal, c’est un titre héréditaire qui va de père à fils. Tout membre qui s’affilie aux yakuzas, accepte d’être un enfant protégé (kobun), puis jure fidélité et obéissance envers l'oyabun. Tous les deux sont soumis à un code moral (code du jingi) et le kobun peut à son tour devenir parrain, afin d’agrandir l’organisation
- Saiko-komon : il s'agit des conseillers qui encadrent le père de famille. C'est en quelque sorte un poste administratif, où le gérant à la main mise sur les avocats, les trésoriers, etc...
- Waka-gashira : situé en dessous de l'oyabun, il s'agit du second de la famille (une sorte de bras droit). Il est sous les ordres directs du patriarche et son principal rôle est de gérer les cadres, tel que des directeurs
- Shatei-gashira : en terme d’autorité, il est inférieur au waka-gashira. Il joue le rôle d’intermédiaire entre le numéro deux du clan, et les membres intermédiaires
- Wakashu : c'est le rang intermédiaire constitué du kyodai (grand frère) et juste au bas de la hiérarchie, les shatei (petit frère). Le junkōseiin est l'apprenti de la famille
Le Yamaguchi-gumi, la plus grande famille de yakuza
Création artistique par : Sergey Zabelin
Elle a été fondée en 1915 par Harukichi Yamaguchi, et leur principale activité tournait autour des spectacles et des jeux. Elle fait partie des plus grandes organisations criminelles à l’échelle mondiale mais également, des plus riches. Sur une échelle statistique évaluée en 2010, cette famille représente 44,4 % des yakuzas présents au Japon.
Dans le secteur du crime organisé, le Yamaguchi-gumi gagne plusieurs milliards de dollars par an grâce à ses activités illicites. Nous pouvons citer le trafic d'armes et de drogues, la prostitution, l’extorsion de fonds, la pornographie.
Shinobu Tsukasa est le nouvel oyabun de la famille, monté au pouvoir en 2005 après la retraite de Watanabe Yoshinori. En 2007, Tsukasa entama une campagne expansionniste à Tokyo où il installa son siège. L'ancien siège, situé à Kobe, est sous la gouvernance du Kobe Yamaguchi-gumi, un groupe sécessionniste composé des clans exclus du Yamaguchi. Entre les lois anti-yakuza qui deviennent sévères et son image dégradée, le Yamaguchi-gumi essaie de perdurer.
Rites traditionnels et code d’honneur du Yakuza
Yakuza traditions, rites et code du bandit
Pour faire partie d'une famille, faire ses preuves est important. Aussi, la nationalité n'est pas un facteur essentiel puisque le Yamaguchi-gumi recense plusieurs nationalités. Ainsi, la seule chose de valeur est l'amour pour la tradition et la famille yakuza.
Le Sakazuki ou cérémonie d’intronisation
Certaines organisations criminelles ont des cérémonies d’admission pour les nouveaux arrivants, et les yakuzas ne font pas exception à la règle. Le sakazuki est une cérémonie d'admission dont la date se fixe en fonction du calendrier lunaire. Après avoir fait ses preuves pendant six mois, une cérémonie s’organise dans une salle composée d'un autel shintoïste et d'une table basse.
Les participants portent des kimonos, dans cette salle ou le silence règne en maître. Le parrain et le futur membre sont assis face à face, puis se partagent une coupe de saké avant de se l’échanger. Ici, le saké symbolise le lien de sang et l’échange de coupe, la fidélité du nouveau membre.
Ensuite, l'oyabun donne un discours sur le code d'honneur du yakuza ainsi que sur les principes de fidélité et d’obéissance. Le rituel se clôt lorsque le silence est rompu par les participants qui disent ensemble "Omedo Gozaimasu". Lorsqu'un yakuza rend la coupe (Oyako Sakazuki) à son parrain, cela signifie qu'il rompt ses liens avec la famille.
Le code d'honneur du yakuza
Le yakuza est soumis à un code d'honneur (bushido) lors de son intronisation dans la famille. On le distingue sur neufs points à savoir :
- Tu ne blesseras pas la dignité où l'honneur d’un citoyen exemplaire
- Tu ne prendras pas la femme d'autrui
- Tu ne commettras point de vol au sein de l’organisation
- Tu ne dois pas te droguer
- Tu devras faire preuve d’obéissance envers ton supérieur
- Tu accepteras de perdre la vie pour le bien du père ou alors, de faire la prison pour lui
- Tu ne devras parler de la famille à personne
- Tu ne diras rien lorsque tu es en prison
- Tu ne tueras point un Katagiri (une personne qui ne fait partie d'aucun clan yakuza, un civil)
Le rituel du tatouage : l'Irezumi
Tatouage Yakuza : masque hannya, masque oni, démon yokai de la mythologie japonaise
Il s’agit du rituel nippon le plus pratiqué au sein de la communauté yakuza. Il s'agit d'un processus extrêmement douloureux, réalisé de manière traditionnelle avec des aiguilles ou de l'acier inoxydable. Il coûte également cher, et son accomplissement de manière intégrale dure des mois ou même des années.
Les yakuzas en sont recouverts et chaque clan possède son propre tatouage. Ce processus provient de la tradition des bakuto ou chaque membre se tatouait un cercle noir pour quantifier ses crimes. C'est devenu au fil du temps, un moyen de différenciation par rapport aux autres clans, mais aussi un symbole de courage.
En effet, se tatouer de cette manière est un procédé irréversible. Bien que la loi interdit aux civils d'en faire usage, certains jeunes s'insurgent et font de ces tatouages, un look de mode.
Le Yubitsume ou l’ablation du petit doigt
Il s'agit d'un rite traditionnel très important pour la communauté des yakuzas. En effet, lorsqu'un yakuza enfreint le bushido, il doit demander pardon. Ce geste de rédemption s'accompagne d'une mutilation du petit doigt, afin de l’offrir au parrain.
Si malgré cela le yakuza persiste dans l’erreur, il recommencera la cérémonie en mutilant ses autres doigts. Cette punition provient de la tradition des bakuto, et peu de personnes peuvent prétendre avoir la quasi-totalité de leur doigt. Le yakuza garde le doigt mutilé dans une solution chimique comme un désinfectant, afin de se rappeler ses erreurs.
Les principales activités criminelles de la mafia japonaise
Yakuza Japon : criminialité
La plupart des activités liées aux yakuzas proviennent de l’époque féodale. La mafia japonaise est complètement différente des organisations secrètes telles que les mafias italiennes ou les triades chinoises. En effet, les bureaux d'une famille de yakuza sont bien visibles, avec le nom et le symbole d’appartenance.
Cet acte fait du Japon, l'un des seuls pays où la mafia est complètement visible. Leurs bureaux sont le plus souvent des associations légales et les membres possèdent un code vestimentaire. Ceci est dans le but de se distinguer des civils katagiri.
L’extorsion de fonds japonais : sokaiya
Les revenus des yakuzas proviennent majoritairement des dîmes qu’ils récupèrent auprès des sociétés sur leurs territoires. Tu peux voir cela comme une sorte « d’impôt » que les entreprises japonaises paient pour éviter des problèmes. D’autres vendent leurs services et obtiennent des actions au sein d'une entreprise, ce qui les transforment en « actionnaires ».
Les yakuzas pratiquent également du chantage pour extorquer des fonds, après avoir obtenu des informations compromettantes sur l’entreprise ou son dirigeant. La police japonaise a également conclu un pacte avec les yakuzas, ce qui donne une semi-légitimité à l’organisation. La police ne peut pas entamer des arrestations sur les yakuzas ayant commis des délits mineurs comme une bagarre par exemple.
La lutte professionnelle japonaise et les jeux de hasard
Les yakuzas sont des grands fanatiques du puroresu et du MMA. Les lieux de combat où se déroulent ces sports, leur appartiennent. Ils y voient un aspect financier, puisqu'il touche des revenus sur les entrées. Les yakuzas s'engagent également dans le sumo ou ils organisent des matchs truqués, en achetant le lutteur.
C'est un secteur d’activité très rentable au Japon, et son origine date de l’époque féodale. Les yakuzas organisent des paris illégaux sur d'autres sports comme notamment la course de chevaux, la course automobile, etc... Ils ont aussi un contrôle absolu sur les salles de pachinko mais également sur les salles de casinos.
D’ailleurs, le pachinko est un jeu très populaire au Japon et son chiffre d’affaires est extrêmement colossal. L’archipel nippon ne compte pas moins de 18 000 salles de jeux dont la plupart sont affiliées au yakuzas. Ce syndicat du crime les utilise pour gonfler leurs chiffres mais aussi, pour faire le blanchiment d'argent.
Le trafic illicite
Parmi les principaux trafics exercés par les yakuzas, on note :
- Le trafic de drogue : Il s'agit de l'une des activités les plus rentable chez les yakuzas. Ils se focalisent plus sur la vente d'amphétamines (stupéfiants) qui constituent leur principal marché
- Le trafic des armes : la loi japonaise étant très stricte au sujet de la détention d'armes, les yakuzas ont donc développés un marché dans d’autres pays d’Asie et aux États-Unis
- L’immigration clandestine : les yakuzas s'occupent de faire entrer des clandestins dans l’archipel. Ce trafic leur fournit des prostituées ainsi que des travailleurs. La plupart des prostituées présentent sur l’archipel nippon proviennent des autres pays asiatiques
La relation existentielle entre le bosozoku et le yakuza
Photographie de vice.com
Au Japon, le bosozoku désigne un groupe de jeunes motards qui pratique une conduite dangereuse en faisant le maximum de bruit. Ces gangsters sont perçues par la police japonaise comme étant des « pseudo yakuza ». Certains membres s'adonnent aux crimes, alors que d’autres versent des cautions aux yakuzas pour assurer leur protection.
L’alliance inédite entre les bosozokus et les yakuzas auraient permis la formation d'un gang informel nommé « Han-gure ». Ces gangs sont utilisés par les yakuzas en tant que force de frappes majeures, puisqu'ils ne sont pas perçus comme « nocifs ». La plupart des gangs sont constitués de chinois et de coréens qui parfois, intègrent la communauté des yakuzas.
Certains jeunes membres du bosozoku se rendent dans d’autres pays asiatiques pour mener leurs activités. Toutefois, cette alliance est mal perçue par la mafia japonaise qui pointe cela comme une entorse à leur éthique.
L’influence des yakuzas dans la culture populaire
Montage Shogun Japon : manga japonais la voie du tablier
Les yakuzas occupent une place prépondérante dans la société sur le plan économique, mais aussi en tant que force de l'ordre dans leurs secteurs. Ils peuvent être perçus comme un mythe au sein de la culture nippone. Si bien qu'on les voit dans des jeux-videos, des mangas, des films japonais...Voici des exemples ou l'on peut voir des yakuzas :
- Dans la franchise Gokusen : créé par Kozueko Morimoto, ce manga été édité par Shueisha. C'est aussi une série animée et un drama. L’héroïne est Kumiko Yamaguchi, l’héritière d'un clan de yakuza qui voit son rêve d'enseignante se réaliser. Elle enseigne les mathématiques dans une classe de délinquants où chacun élève possède une personnalité complexe
- Dans le film My Boss, My Hero : c'est une parodie sortie en 2001. Il s’agit d'un jeune chef de clan illettré qui a été renvoyé à l’école après avoir raté une grosse transaction car il ne savait pas compter. Il intègre un lycée dominé par le clan rival, il découvrira la joie d’être un lycéen
- Dans le jeu culte Grand Theft Auto III : l'un des Gangs de la ville Staunton s’appelle « Yakuza »
- Dans le jeu vidéo Yandere Simulator : les yakuzas aident le personnage principal à accomplir certaines tâches
- Dans la série de jeux vidéo Yakuza : elle met en scène plusieurs aventures sur le monde des yakuzas. Ces jeu est disponible sur les consoles PlayStation 2, PS3, PS4, Xbox One, Switch et Wii
- Le Yakuza eiga : c’est un genre cinématographique japonais qui retrace la vie que mènent les yakuzas. Certains cinéastes européens se sont également engagés sur le sujet. Plusieurs franchises filmographiques ont introduit les yakuzas dans leur film, dont le dernier en date est « first love : le dernier yakuza » de Takashi Miike, sorti en 2019 aux États-Unis
- Le film Yakuza l'Ordre du dragon : c'est un film japonais de Yakuza sorti en 2007 par Takashi Miike
Les Yakuzas, la mafia la plus ancienne et moderne du monde
Les Yakuza au Japon : illustration originale par Remi Delabaudiere
Nous avons vu que la famille yakuza est l'une des plus grandes organisations au monde, au côté de la mafia italienne et de la mafia chinoise. L’étymologie de leur nom vient d'une combinaison perdante d'un jeu de cartes, datant de l’ère Tokugawa. C'est donc une organisation ancienne qui a su perdurer dans le temps et vaincre l'adversité
Le Yakuza suit un code d’honneur strict ce qui lui a valu une telle réputation à travers le monde. Mais ne te méprends pas un yakuza est bel et bien un gangster des temps modernes même s'ils sont toujours soumis à des transitions japonaises comme le Yubitsume ou le Seppuku.
Si tu souhaites en apprendre d'avantage sur le dangereux monde japonais alors lis également notre article sur les gangs de motards bosozoku. Ils ont inspiré le manga culte Akira...
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